SE CHANGER SOI
POUR CHANGER LE MONDE
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avec introduction ou résumé pour chaque article
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La fréquence de nouveaux articles sur ce site n'est pas très importante. Mais ceux-ci ne sont pas non plus sujets à l'obsolescence programmée. Chaque nouveau sujet vient compléter et appuyer les sujets précédemment évoqués et représente un nouveau chapitre à la construction du site qui peut se concevoir presque comme un livre. Il existe une liste de diffusion pour chaque langue si vous désirez être informé de la publication d'un nouvel article.
Outre la page d'accueil et les introductions et résumés d'articles, cette page permet de mieux comprendre le titre du site et la démarche que cela implique, en parallèle aux démarches collectives et aux autres attitudes et réactions face aux problèmes de société.
Nouveau : Novembre 2023
Quand cesse la culture du PROFIT
ou
Comment éteindre
notre allumette individuelle
sous la marmite qui fait bouillir le monde
Ce livre, en partant des constats, très chiffrés, dans
sa première partie, évoque une kyrielle de dérives
dans notre société : conséquences directes de nos
conceptions de l’argent et du profit.
Les cinq parties suivantes évoluent, tout d'abord, vers certaines
idées de solutions, dont une place importante est donnée
à l'allocation universelle ; mais aussi vers une invitation à
l’introspection.
Car ce que nous dénonçons à l’extérieur
de nous, nous continuons à l’accepter et même le pratiquer
dans nos comportements du quotidien et dans nos modes de fonctionnement
psychologiques qui les sous-tendent.
Et nous sommes bien plus souvent complaisants, complices, voire même
acteurs de ce que nous dénonçons, sans en être vraiment
conscients. Nous obéissons à des ordres culturels et sociaux
implicites qui nous enjoignent de consommer, polluer, gaspiller et indirectement
(non volontairement mais bel et bien concrètement) nuire à
autrui par toutes ces attitudes. Et quand nous cherchons à faire
bouger les lignes, nous nous contentons trop souvent de dénoncer
les problèmes à l’extérieur de nous en pointant
« les autres » du doigt; ce qui nous rend presque toujours
impuissants, même si nous sommes très actifs. Car malgré
nos intentions, nous restons embrigadés à fonctionner loin
du coeur et rivés à ce que nous pensons être des raisonnements
rationnels, et à persister dans tous les domaines de nos vies à
fonctionner dans les rapports de force. En changeant la couleur de nos
lunettes, en regardant en nous ce qui fait obstacle au changement, nous
nous mettons individuellement, et collectivement, dans la capacité
de découvrir des solutions aux millions de problèmes qui
jonchent actuellement le parcours de l’humanité et de la
vie sur Terre.
RESPONSABILITE CITOYENNE
Echelle planétaire/individuelle :
Economie et dignité humaine (conf Joan Mellé)
Cette page présente la transcription non littérale en français d'une courte conférence-vidéo passionnante devant un auditoire d'entrepreneurs, donnée en 2017 par Joan Antoni Melé, en espagnol, à Buenos Aires, concernant la dignité humaine que nous avons perdue dans l'économie et la vie sociale et qui nous mène à la destruction de la planète. Joan Antoni Melé, qui a participé à la création de la banque Triodos en Espagne, questionne nos valeurs, l'éducation, l'art, la culture. Nous avons quitté notre axe et perdu nos capacités humaines en cours de route. Et il est impératif de passer du diktat de la recherche de profit aveugle et de la rationalité abrupte vers une pensée cohérente et altruiste guidée cette fois et à tout prix par le cœur.
La décroissance est un concept économique et écologique basé sur l'idée que sur une planète limitée il est impératif de mettre des limites à notre utilisation des ressources, ce qui est l'antithèse de la croissance économique actuelle.
L'empreinte écologique mesure la quantité de surface terrestre
bioproductive nécessaire pour produire les biens et services que
nous consommons, et absorber les déchets que nous produisons. Elle
permet dès lors de mesurer la pression qu'exerce l'humain sur la
nature.
Des tests proposés sur le net et relayés dans le texte,
permettent de calculer notre propre empreinte écologique personnelle,
et nous encouragent dès lors à mieux orienter nos comportements
afin de réduire cette empreinte.
Notre assiette reflète parfaitement l'état de la planète.
Si nous y étudions les aliments qui s'y trouvent, leur nature (animale,
végétale), leur qualité (bio, industrielle), leur
origine (locale, lointaine), leur mode de production (éthique ou
non), le transport qu'ils ont effectué pour nous parvenir (1 km
à vélo ou 10.000 km en avion), ou encore les transformations
qu'ils ont subi (irradiation, cuisson, conservation, emballage, ....);
nous pouvons dès lors déterminer la qualité de vie
de ceux qui les ont produits, le taux de pollution qu'ils ont engendré,
la quantité d'eau et d'énergie qu'ils ont exigé pour
arriver à maturité, les torts ou bienfaits qu'ils vont faire
à notre santé, les nuisances que cela aura engendré
pour le milieu.
La plupart des aliments qui arrivent dans l'assiette d'un consommateur
occidental moyen auront contribué de manière importante,
à un impact négatif, dans tous les domaines concernés.
Ce n'est pas inéluctable. Daniel Cauchy propose plusieurs pistes
concrètes pour changer cela.
Empreinte écologique et violence passive
A partir de la conférence TedX de Arun Gandhi, proposée
en vidéo, qui introduit la notion de violence passive ; cet
article propose de créer des liens entre les réalités
présentées dans l'actualité, et nos gestes au quotidien.
Notre consommation n'est pas sans conséquence sur la marche du
monde. Par la consommation nous avons appris à exercer de la violence
passive. Notre culture nous y conditionne et nous appelle a gentiment
détourner le regard de nos responsabilités face aux réalités
de souffrance et de destruction que cela engendre. Des centaines de millions
de personnes sont décédées de la faim ou de la malnutrition
dans le monde, et plus encore vivent dans la misère actuellement
alors que nous vivons comme si cela n'existait pas. Tant que nous ne serons
pas capables de retirer nos œillères et de regarder cela en
face, en faisant le lien avec nos propres comportements de tous les jours ;
des centaines de millions de personnes continueront à souffrir
et disparaître dans la presque indifférence générale.
Changer notre regard sur ces faits, et adopter une nouvelle perspective
réveille notre humanité et permet de changer nos comportements
par la réduction de notre empreinte écologique de manière
plus cohérente. En adoptant cette perspective plus réaliste,
tout un chemin s'ouvre alors devant nous pour changer, à notre
échelle, ce qui peut encore l'être.
Faire notre part :
La simplicité volontaire est un choix personnel qui consiste à
prendre la direction vers une vie matérielle, intellectuelle, psychologique
et spirituelle plus proche de nos réels besoins et de nos réelles
valeurs, pour soi, pour les autres, et pour la planète.
Chacun qui chemine dans cette direction le fait à sa manière,
à son rythme, en choisissant certaines priorités plutôt
que d'autres, cela lui appartient. Si le choix est personnel et l'action
qui en découle a priori individuelle, ils favorisent la solidarité,
les échanges, la générosité, la convivialité.
Êtes-vous de ceux qui en ont assez de consommer, de gaspiller,
de polluer? Êtes-vous de ceux qui ne veulent plus perdre tout leur
temps à travailler pour se payer les objets si pratiques qui vont
leur faire gagner du temps? Êtes-vous de ceux qui rêvent de
plus de temps, plus de paix, et de partager plus de moments avec les êtres
qui leur sont chers? A n'en pas douter, le désencombrement est
alors un sujet qui vous concerne.
Nos achats nous mènent à devoir gagner toujours plus pour
accumuler toujours plus dans nos chaumières et nous finissons par
nous asphyxier, ignorant que nous avons créé nous-même
cette situation. Et si nous l'avons créée, il devient alors
envisageable de la quitter.
Désencombrement - dossier 2006
Nous vivons dans une société où nous accumulons les objets, les documents, les activités, les informations, au point que cela finit par entraver notre liberté. Le dossier désencombrement aide à faire le tri pour alléger la difficulté de se débarrasser de l'inutile, du superflu, de l'obsolète.
10 conseils pour entrer en décroissance
Les 10 conseils pour entrer en décroissance permettent d'élargir le concept de l'empreinte écologique en proposant de mettre un frein, voire de stopper net, tout ce qui nous pousse à consommer/gaspiller/polluer le plus, mais également à faire un usage effréné des technologies, à participer activement et avec complaisance à l'économie capitaliste. Certains conseils nous dirigent aussi vers un questionnement politique, psychologique et intellectuel sur nos propres comportements.
contes associés:
Nous sommes responsables de ce que nous faisons, et aussi de ce que nous omettons de faire.
Entre les imprévus, l'agenda surbooké, le temps que nous passons à gagner plus d'argent pour nous offrir ce qui nous fera gagner du temps, la multiplication de nos loisirs; nous n'avons forcément pas le temps de nous arrêter pour réorganiser tout ça, et moins encore pour nous poser les questions de savoir si tout cela a bien du sens.
EVOLUTION INTERIEURE
Croyances et influences extérieures :
Notre complaisance consiste à désigner le capitalisme, les riches, les dirigeants politiques et économiques, comme responsables de tous les méfaits du système, sans être véritablement conscients que, non seulement notre propre mentalité procède sur le même mode de pensée que ce ou ceux que nous dénonçons, mais aussi que nous bénéficions de certains avantages de ce système, qui nous en rendent esclaves et qui nous forcent à y participer activement, l'air de rien.
De l'opposition à la non-violence
L'opposition engendre : l'opposition, ou la soumission ..... temporaire.
C'est en fait déjà au niveau du mode de pensée qui
sous-tend l'attitude d'opposition, que nous biaisons nos objectifs. Car
en nous opposant, nous ralentissons, et parfois même, nous nous
empêchons d'arriver à nos fins. Notre attitude va entraîner
des comportements qui, bien souvent, ne pourront pas être acceptés
par l'interlocuteur. Car l'opposition est un sérieux obstacle au
dialogue et à la négociation. Dans le pire des cas, elle
peut couper la communication, et faire place aux stratégies de
violence.
L'opposition se passe dans le registre du rapport de force.
La non-violence dans son essence, ne s'oppose pas à des personnes.
Elle se contente de ne pas coopérer avec ce qui fait problème.
Le processus de la non-violence consiste à dire : « Je
ne suis pas d'accord avec vous, je ne peux donc pas coopérer avec
vos actions, et je vais tout faire pour obtenir ce que je cherche, mais
jamais je ne vous ferai le moindre tort pour l'obtenir : je ne ferai rien
dans le registre du mépris, de la destruction, de la médisance,
etc., et j'accepte toutes les conséquences que vous déciderez
de me faire subir, y compris, celle de ne rien obtenir, de perdre la liberté,
voire, de perdre la vie. Je maintiendrai simplement ma position jusqu'à
ce que l'on puisse en parler et trouver une solution qui nous convienne
de part et d'autre. »
contes associés:
Les réponses sont en nous. Nous nous perdons à les chercher ailleurs.
Les événements ne nous donnent pas toujours directement la vraie couleur de la réalité.
Pêcheurs mexicains et américains
Comment courir à perdre sa vie pour la gagner, alors que nous l'avons déjà.
Le monde est prêt à basculer dans le chaos, et nous ne le voyons pas, hypnotisés que nous sommes par la télévision, la publicité, la consommation, le brillant et les paillettes. Le réveil pourrait être dur.
Communication :
Argumentation et rapport de force
Nous avons tous, et de façon unique pour chacun, notre propre perception du monde et de nous-même. Dans nos relations avec notre entourage (en tant qu'individu, association ou masse populaire), nous allons confronter notre perception à celle de nos partenaires. Et il existe deux grandes tendances dans la manière de le faire : chercher le point commun, ou chercher à avoir raison. Cela transparait dans nos modes de conversation, dans notre argumentation, dans les négociations, ainsi que dans nos moyens d'action. L'attitude choisie, influencera nos relations, les personnes impliquées, et le choix des solutions lors des conflits.
Un article paru dans le magazine Agenda+ qui donne un aperçu assez large de l'apprentissage possible à faire en communication relationnelle.
Cessez d'être gentil, soyez vrai
Ce livre est un incontournable. Il constitue une excellente introduction
à la communication non-violente, susceptible de déclencher un véritable
processus de changement et d'évolution, en profondeur, chez celui qui
le lit, et que chacun devrait pouvoir effectuer un jour. Le livre est
présenté via les notes de conférence d'un auteur qui ne s'est pas identifié,
mais dont Thomas d'Ansembourg a lui-même apprécié la qualité de transcription.
conte associé:
Une autre illustration de la loi de l'attraction. Nous récoltons toujours ce que nous semons.
Cerveau - pensées et émotions
:
Gestion des pensées - gestion des émotions
A la base, toutes nos pensées, quelle que soit leur origine, surviennent
automatiquement, sans que nous n'ayons aucune prise sur le processus.
En dehors des raisonnements, nous pouvons apprendre à orienter
nos pensées vers certains contenus, ou parfois parvenir à
nous éloigner de certains contenus, mais rarement plus.
Et en situation de stress, de préoccupation importante, et lors
de la présence de certaines fortes émotions, il est presque
impossible d'avoir le contrôle sur la situation.
Les pensées se répètent, se bousculent, nous entrainent
dans des ruminations. Elles se mettent à tourner en roue libre,
à vide, et nous mènent dans des dédales dont nous
avons toutes les peines du monde à nous sortir. Elles nous engagent
à nous construire des films - le plus souvent irréalistes
- mais dans lesquels nous croyons ferme, au point parfois de nous amener
à les vérifier, car ils influencent nos émotions
et nos comportements, au point d'agir dans le sens de leur réalisation.
Et plus le temps passe, plus cela nous blesse, et plus ces scénarios
finissent par se reproduirent d'eux-mêmes, et nous devons alors
vraiment nous battre pour tenir la tête hors de l'eau. Tout cela
nourrit nos émotions négatives, quitte à les rendre
ingérables. Cela nous fait vivre de la souffrance, nous pollue
le quotidien, réduit notre liberté de choix, peut nous pousser
à des actes que nous regrettons ensuite, ou encore cela finit par
se marquer sur le corps sous forme de symptômes que l'on dit psychosomatiques.
Nous sommes nombreux à passer notre temps à acheter, manger,
travailler, dormir, consommer, courir entre les rendez-vous de notre agenda….Et
nous n’avons ni le temps de souffler, ni le temps de penser, ni
le temps de faire des choix, ni le temps de faire des remises en question,
pas plus le temps de faire des prises de conscience et encore moins le
temps d’évoluer ..... ou encore d’aimer vraiment, autrement
que par cadeaux interposés ou conflits évités.
Le tourbillon de nos vies nous abrutit et nous rend plus malléables
aux influences extérieures. Moins nous sommes en mesure de penser
par nous-mêmes, plus nous aurons tendance à adopter le prêt-à-penser
ambiant, sans nous rendre compte que les opinions qu'il nous suggère
ne nous correspondent en rien.
Dispenza - Vous êtes le placebo
Le Dr Joe Dispenza traite dans son livre "You are the placebo", de sujets tels que la visualisation, la méditation, la loi de l'attraction, les applications de la physique quantique dans l'évolution personnelle; et il le fait au travers de a lucarne des neurosciences. Il nous parle de la plasticité du cerveau, de notre capacité à créer ou supprimer des connexions neuronales, de notre capacité à activer ou désactiver nos gènes, et de l'interaction importante entre nos cellules, notre corps et nos pensées et émotions, et - l'aspect le plus important : il y est question de l'intérêt à mieux gérer ces pensées et émotions, afin de transformer à la fois notre mental et notre santé. Son livre regorge d'exemples, d'études, d'expériences qui viennent illustrer ses théories. Dans ce livre il amène l'idée que nous pouvons rejoindre la santé par notre volonté et la capacité d'orienter nos pensées et nos émotions en changeant nos croyances, et utiliser cela comme on utilise un placebo.
Faire un pas de côté en apprenant à observer nos pensées sans nous identifier à elles permet de créer une bien plus grande liberté de penser, à faire la place à l'humilité et aussi à la prudence concernant nos propres opinions, savoirs et croyances. Et cela permet surtout d'accéder à de nouvelles dimensions de nous-mêmes et d'avoir un impact très différent dans nos vies.
On l'appelle intelligence ou sagesse collective. Elle apparaît
dans certaines circonstances au sein de groupes rassemblés pour
un objectif positif constructif, lorsqu'une certaine cohésion est
présente, et que chacun laisse à l'extérieur ses
préoccupations et intérêts personnels, pour se rendre
disponible au travail collectif.
Chaque participant a accès à quelque chose de nouveau qui
ne correspond pas à son potentiel propre ou à celui de chacun
des individus du groupe. Il s'agit d'un savoir, d'un autre regard sur
ce qui concerne le groupe.
Une sorte d'intuition de groupe se développe alors, un niveau supérieur
d'ordre apparaît, une forme de sagesse émerge. Le résultat
de l'effort du groupe, dépasse de loin la somme de ce dont chacun
est potentiellement capable de donner et de ce qu'on a l'habitude de rencontrer.
Un autre regard sur la démence et sur la préservation de la jeunesse.
Ce texte propose une approche de la démence par la connaissance
de soi et de nos pensées. Nous sommes le résultat de nos
automatismes. Et plus le temps passe, plus ceux-ci vont prendre le pouvoir
dans notre vie. Mieux comprendre ce mécanisme d'automatisation
de nos modes de fonctionnement mentaux peut aider à apprendre à
gérer notre mental différemment afin d'éviter que
ce processus ne nous rattrape trop vite. C'est dès le début
de la vie qu'il faut agir.
Et en comprenant mieux ces mécanismes on peut apprendre à
mieux comprendre et mieux interagir avec les personnes plus âgées
et les personnes atteintes de démence. Ces dernières, si
elles ont perdu leur autonomie, leurs capacités de raisonner et
de s'exprimer n'ont rien perdu de leur savoir, de leur personnalité
et de leur expérience. Considérer les choses ainsi permet
de les côtoyer très différemment et de restaurer le
respect, le contact, la confiance et toute la part affective de la relation.
Le
boomerang des pensées
Probablement l'avez-vous expérimenté : vos pensées
attirent la réalisation de leur contenu. Cela peut paraître
une superstition, et pourtant...
Il n'est pas trop difficile de se le prouver, il suffit de vérifier.
La manière dont on le vérifie le plus souvent - trop souvent
- c'est quand l'objet des peurs et des colères que nous entretenons
finit par se concrétiser (maladie, pertes, dettes, conflits, accidents,
...).
C'est en fait le contenu même de ce à quoi l'on pense qui
influence notre future réalité, que nous le vérifiions
ou non. Notre environnement, notre entourage, les événements
de notre présent sont donc la conséquence de nos pensées
du passé.
Vidéo et transription en français de la conférence
TEDx du Dr Joe Dispenza .
En complément de l'article Gestion des pensées - Gestion
des émotions, pour ceux qu'un éclaircissement plus scientifique
pourrait satisfaire davantage, voici une approche par la neuroscience,
via une courte conférence magistrale du Dr. Joe Dispenza (qui a
participé au double film « What the Bleep do we know »
et « Down the hole rabbit »).
Ses explications permettent une compréhension limpide de tous ces
phénomènes sur base du fonctionnement de nos neurones dans
les 3 cerveaux dont dépendent pour chacun nos fonctionnements mental,
émotionnel et instinctif.
L'intention d'une réalité désirée, encore
virtuelle, donc imaginée, mais que l'on parvient à vivre
factuellement au niveau émotionnel, rend possible un remodelage
des connexions neuronales.
Et cette plasticité permet un changement d'attitude mentale qui
va entrainer un changement de comportement et rendre possible la réalisation
de la réalité qui jusque là n'était que potentielle.
Car c'est l'expérience dans le corps, via les émotions ressenties
réellement, qui permet une compréhension véritable
et rend possible la concrétisation dans la réalité
de ce que le mental avait désiré.
Cette vidéo a été réalisée lors d'une
conférence TEDx à Tacoma (dans l'état de Washington
sur la côte Ouest des Etats-Unis).
Voici le résumé du livre de Pema Chödron : «
Pour faire la paix en temps de guerre »
L'idée du livre est que la violence qui se trouve autour de nous
n'est qu'à l'image de la violence qui est en nous. Si nous sommes
capables d'observer, de gérer cette violence en nous, en refusant
de démarrer au quart de tour et d'entrer dans l'escalade, nous
parvenons à réduire notre propre violence, mais également
la violence générale à un degré plus important
que celui d'une équation cartésienne (6 milliards - 1).
Et la violence dont on parle est également la violence minime:
frustration, chatouillement, réactions aux petites provocations
de la vie. C'est même là que tout commence.
La colère sous-jacente à la violence -quelle que soit l'échelle à laquelle elle est perpétrée - est générée par la peur des auteurs de violence. La peur de la violence est donc capable d'engendrer une violence tout aussi destructrice et assassine que celle qu'elle tente de combattre. C'est bien plus du côté des peurs qu'il faut aller chercher, si nous voulons arriver à désamorcer les violences. Tant les nôtres, même si nous n'avons pas posé les actes, que celles de ceux qui les ont déjà perpétrés, afin de cesser de nourrir un perpétuel cercle vicieux, terriblement meurtrier.
(Condensé des notes de conférences concernant l' EFT dans
le cadre du « Pain Relief WorldSummit »)
Tout cheminement de vie, et plus particulièrement tout parcours
d'évolution personnelle, implique des moments difficiles, de douleurs,
d'émotions, de stress, d'incompréhension. Le soutien et
l'aide de l'entourage, de professionnels, de remèdes ou autres,
ne sont pas toujours présents ou disponibles, ou bien souvent aussi,
n'apportent pas l'effet attendu ou souhaité.
Une technique comme l'EFT représente donc une compétence
extraordinaire à mille facettes pour s'accompagner sur ce chemin,
de façon autonome.
Excepté quelques connaissances de base, la technique n'exige aucune
formation, aucun matériel, aucune expérience, et surtout
elle est gratuite et peut se pratiquer seul et partout.
Le document proposé ici n'est pas une introduction à la
méthode mais bien un complément d'information pour ceux
qui la pratiquent déjà afin de mieux maitriser son utilisation
et en obtenir plus d'effets. Cependant des références y
sont présentes au début de l'article pour apprendre la méthode
sur internet.
conte associé:
Une autre illustration de la loi de l'attraction. Nous récoltons toujours ce que nous semons.
Une illustration de la loi de l'attraction. Nos pensées attirent nos pensées, et nous pouvons apprendre à choisir le contenu et l'orientation de nos pensées.
Autobiographie en cinq chapitres
Guy Corneau exprime cela en une phrase :
“La vie est parfaite puisqu’elle nous ressert toujours le
même plat jusqu’à ce que nous prenions conscience
de ce que nous sommes en train de manger”.
OUVERTURE DE CONSCIENCE :
C'est au coeur de nos défauts que siège la plus belle
part de notre humanité. Car ils peuvent être à la
source de nos plus belles qualités.
Plutôt que les combattre ou les masquer, les connaître et
reconnaître permet de découvrir les qualités qui se
trouvent cachées juste derrière, et aide à mieux
nous épanouir.
Le bénéfice n'est pas tant la découverte de la qualité
que le regard qui change, sur soi et sur les autres en permettant de discerner
chez l'autre, derrière ses faiblesses, sa part d'humanité..
Vous en avez peut-être déjà entendu parler si vous
êtes un peu familiarisé avec le concept de « la mémoire
de l'eau » introduit par le Professeur Emoto.
Il s'agit de parvenir à voir et comprendre que nos pensées
et intentions peuvent avoir un effet concret sur la conservation en bon
état de riz cuit, pendant des semaines, voire des mois, des années.
Le vivre, c'est non seulement le croire, mais c'est aussi comprendre les
implications qui sont liées à tous les niveaux de notre
vie.
Nos croyances et conditionnements, sont des accords qui nous ont été
inculqués ou que nous avons conclus avec nous-même dans notre
enfance ou plus tard, via nos expériences de souffrance et de peur.
Or ils n'ont plus lieu d'être et nous empêchent de vivre heureux.
Don Miguel Ruiz propose de changer ces accords et d'adopter les quatre
Accords Toltèques :
- Que votre parole soit impeccable
- Quoi qu'il arrive, n'en faites pas une affaire personnelle
- Ne faites pas de suppositions
- Faites toujours de votre mieux
Cela vaut la peine d'en connaître davantage sur le sujet pour mieux
comprendre leur fonctionnement, leur intérêt et les bénéfices
que nous aurons à les utiliser.
La suite du livre sur les 4 Accords Toltèques. Ce livre stimule
vers plus d'intériorité. Le cinquième accord :
« Soyez sceptique, mais apprenez à écouter »,
est une attitude, à la fois tournée vers l'autre, et qui
aide à faire le ménage dans toutes les histoires que nous
nous racontons et qui faussent notre perception de la réalité.
Il s'agit d'un processus d'apprentissage lent qui éloigne nos souffrances
et augmente notre bonheur.
Extraits du livre "L'intelligence du coeur - La solution HeartMath" -
de Doc Childre & Howard Martin
Ce livre propose une approche particulière : il fait le lien entre
l'intelligence intuitive et l'organe biologique coeur, tout en mettant
l'accent sur la possibilité de mettre en avant cette intelligence
là par rapport à l'intelligence rationnelle, celle du cerveau,
du mental.
L'idée exposée est en quelque sorte de remettre les choses
à leur place, en très raccourci : utiliser notre cerveau
comme un outil au service de notre coeur d'une certaine manière.
De la sorte, on atteint plus de sérénité, on donne
des proportions plus adéquates aux problèmes que l'on rencontre,
mais surtout, on leur trouve des solutions, et de meilleures solutions,
plus durables, plus satisaisantes, et en plus, on y gagne au niveau de
notre gestion du stress, gestion des émotions, et au niveau de
notre santé en général.
Dans son livre « Guérir », David Servan Schreiber,
parlait déjà de l'apprentissage de la cohérence cardiaque.
Celle-ci a été créée par les auteurs de la
solution HeartMath. Cela fait partie du même concept.
Le livre, en plus d'une explication sensée de certains processus,
dans un registre médical et psychologique, qui peuvent faire écho
par rapport à nos propres vécus, donne véritablement
trois techniques à utiliser pour mieux gérer cette intuition
du coeur, nos émotions, notre stress etc.
L'extrait proposé cadre la méthode dans le contexte plus
général d'une société en pleine décadence,
d'un monde qui doit choisir entre s'humaniser ou disparaître. Il
nous concerne tous.
rem : cet extrait est écrit avant les attentats du 11/9, avant
le grand tsunami en Asie, avant que l'on ne parle beaucoup du réchauffement
climatique, avant la crise financière, avant la grippe mexicaine.
contes associés:
Une illustration de la loi de l'attraction. Nos pensées attirent nos pensées, et nous pouvons apprendre à choisir le contenu et l'orientation de nos pensées.
Entre les imprévus, l'agenda surbooké, le temps que nous passons à gagner plus d'argent pour nous offrir ce qui nous fera gagner du temps, la multiplication de nos loisirs; nous n'avons forcément pas le temps de nous arrêter pour réorganiser tout ça, et moins encore pour nous poser les questions de savoir si tout cela a bien du sens.
Les événements ne nous donnent pas toujours directement la vraie couleur de la réalité.
Guy Corneau exprime cela en une phrase :
“La vie est parfaite puisqu’elle nous ressert toujours le
même plat jusqu’à ce que nous prenions conscience
de ce que nous sommes en train de manger”.
Une métaphore pour illustrer le titre du site
POURQUOI SE CHANGER SOI
-
NOTRE INFLUENCE :
Outre la page d'accueil et les introductions et résumés d'articles, cette page permet de mieux comprendre le titre du site et la démarche que cela implique, en parallèle aux démarches collectives et aux autres attitudes et réactions face aux problèmes de société.
Du centième singe aux champs morphiques – de la légende
à l'hypothèse scientifique :
Peut-être connaissez-vous déjà le phénomène
du 100ème singe, cette observation par des scientifiques en Asie,
dans les années '50, concernant la transmission de l'apprentissage
d'une communauté de singes à d'autres communautés
sans qu'il n'existe de moyen connu de communication entre les singes concernés.
La théorie du biologiste Rupert Sheldrake corrobore en partie le
phénomène du centième singe.
Alors que nous avons coutume de penser que notre mémoire est localisée
dans notre cerveau, que nos gênes sont responsables des caractères
héréditaires et que nos pensées sont la conséquence
uniquement de phénomènes chimiques et électriques
siégeant dans le cerveau, Sheldrake postule qu'il en est autrement.
Les changements que nous introduisons dans notre vie à un niveau
individuel auraient dès lors un impact sur notre entourage même
si nous ne les montrons ou ne les communiquons pas.
Notre influence individuelle - L'influence que nous avons sur autrui lorsque nous effectuons un changement intérieur en profondeur va bien au-delà de notre simple entourage
Lorsque survient la conscience des pièges de la société
de l'argent, du pouvoir, du profit, et la volonté de se démarquer
de ces abus ; un désir ardent d'entraîner l'entourage,
et même bien plus, vers le même cheminement, devient souvent
l'objectif principal. Beaucoup de personnes se découvrent alors
des vocations de missionnaire, en avançant à petit pas et
en tentant de faire avancer autour d'eux à grands pas. Et cela
provoque plus souvent l'inverse de l'effet recherché, à
savoir : de la résistance.
Mais s'il n'est pas facile de convaincre; on peut malgré tout opérer
un changement autour de nous d'un autre ordre, car une force psychologique,
et le rayonnement ou charisme qui découle de l'évolution
personnelle peuvent influencer d'une autre manière.
Cette influence peut être considérée selon différentes
perspectives détaillées dans l'article :
L'intelligence collective, les neurones miroir, l'épigénétique,
la contagion de l'altruisme, les champs morphogénétiques,
l'auto-contagion, la transmission de nos pensées et émotions,
et le pouvoir des minorités.
Ainsi, quel que soit le niveau de conscience et d'évolution sur lequel nous travaillons : citoyen, consommateur, communication, relations, comportements, pensées, émotions, spiritualité ; nous influençons d'autres dans la même direction.
contes associés:
Nous sommes responsables de ce que nous faisons, et aussi de ce que nous omettons de faire.
Notre pouvoir personnel est bien plus grand que nous ne l'imaginons et bien souvent, nous ignorons tout simplement son existence.
Une métaphore pour illustrer le titre du site
LA NON-VIOLENCE A TOUS LES NIVEAUX :
Argumentation et rapport de force
Nous avons tous, et de façon unique pour chacun, notre propre perception du monde et de nous-même. Dans nos relations avec notre entourage (en tant qu'individu, association ou masse populaire), nous allons confronter notre perception à celle de nos partenaires. Et il existe deux grandes tendances dans la manière de le faire : chercher le point commun, ou chercher à avoir raison. Cela transparait dans nos modes de conversation, dans notre argumentation, dans les négociations, ainsi que dans nos moyens d'action. L'attitude choisie, influencera nos relations, les personnes impliquées, et le choix des solutions lors des conflits.
De l'opposition à la non-violence
L'opposition engendre : l'opposition, ou la soumission ..... temporaire.
C'est en fait déjà au niveau du mode de pensée qui
sous-tend l'attitude d'opposition, que nous biaisons nos objectifs. Car
en nous opposant, nous ralentissons, et parfois même, nous nous
empêchons d'arriver à nos fins. Notre attitude va entraîner
des comportements qui, bien souvent, ne pourront pas être acceptés
par l'interlocuteur. Car l'opposition est un sérieux obstacle au
dialogue et à la négociation. Dans le pire des cas, elle
peut couper la communication, et faire place aux stratégies de
violence.
L'opposition se passe dans le registre du rapport de force.
La non-violence dans son essence, ne s'oppose pas à des personnes.
Elle se contente de ne pas coopérer avec ce qui fait problème.
Le processus de la non-violence consiste à dire : « Je ne
suis pas d'accord avec vous, je ne peux donc pas coopérer avec
vos actions, et je vais tout faire pour obtenir ce que je cherche, mais
jamais je ne vous ferai le moindre tort pour l'obtenir : je ne ferai rien
dans le registre du mépris, de la destruction, de la médisance,
etc., et j'accepte toutes les conséquences que vous déciderez
de me faire subir, y compris, celle de ne rien obtenir, de perdre la liberté,
voire, de perdre la vie. Je maintiendrai simplement ma position jusqu'à
ce que l'on puisse en parler et trouver une solution qui nous convienne
de part et d'autre. »
Voici le résumé du livre de Pema Chödron : «
Pour faire la paix en temps de guerre »
L'idée du livre est que la violence qui se trouve autour de nous
n'est qu'à l'image de la violence qui est en nous. Si nous sommes
capables d'observer, de gérer cette violence en nous, en refusant
de démarrer au quart de tour et d'entrer dans l'escalade, nous
parvenons à réduire notre propre violence, mais également
la violence générale à un degré plus important
que celui d'une équation cartésienne (6 milliards - 1).
Et la violence dont on parle est également la violence minime:
frustration, chatouillement, réactions aux petites provocations
de la vie. C'est même là que tout commence.
La colère sous-jacente à la violence -quelle que soit l'échelle à laquelle elle est perpétrée - est générée par la peur des auteurs de violence. La peur de la violence est donc capable d'engendrer une violence tout aussi destructrice et assassine que celle qu'elle tente de combattre. C'est bien plus du côté des peurs qu'il faut aller chercher, si nous voulons arriver à désamorcer les violences. Tant les nôtres, même si nous avons pas posé les actes, que celles de ceux qui les ont déjà perpétrés, afin de cesser de nourrir un perpétuel cercle vicieux, terriblement meurtrier.
CNV - Cessez d'être gentil, soyez vrai
Ce livre est un incontournable. Il constitue une excellente introduction à la communication non-violente, susceptible de déclencher un véritable processus de changement et d'évolution, en profondeur, chez celui qui le lit, et que chacun devrait pouvoir effectuer un jour. Le livre est présenté via les notes de conférence d'un auteur qui ne s'est pas identifié, mais dont Thomas d'Ansembourg a lui-même apprécié la qualité de transcription.
Empreinte écologique et violence passive
A partir de la conférence TedX de Arun Gandhi, proposée
en vidéo, qui introduit la notion de violence passive ; cet
article propose de créer des liens entre les réalités
présentées dans l'actualité, et nos gestes au quotidien.
Notre consommation n'est pas sans conséquence sur la marche du
monde. Par la consommation nous avons appris à exercer de la violence
passive. Notre culture nous y conditionne et nous appelle a gentiment
détourner le regard de nos responsabilités face aux réalités
de souffrance et de destruction que cela engendre. Des centaines de millions
de personnes sont décédées de la faim ou de la malnutrition
dans le monde, et plus encore vivent dans la misère actuellement
alors que nous vivons comme si cela n'existait pas. Tant que nous ne serons
pas capables de retirer nos œillères et de regarder cela en
face, en faisant le lien avec nos propres comportements de tous les jours ;
des centaines de millions de personnes continueront à souffrir
et disparaître dans la presque indifférence générale.
Changer notre regard sur ces faits, et adopter une nouvelle perspective
réveille notre humanité et permet de changer nos comportements
par la réduction de notre empreinte écologique de manière
plus cohérente. En adoptant cette perspective plus réaliste,
tout un chemin s'ouvre alors devant nous pour changer, à notre
échelle, ce qui peut encore l'être.
Les contes et légendes, ont parfois, souvent même, plus de pouvoir que les arguments rationnels. Ils nous interpellent, et peuvent accélérer nos prises de conscience, court-circuitant le mental, car c'est au coeur qu'ils s'adressent.
Nous sommes responsables de ce que nous faisons, et aussi de ce que nous omettons de faire.
Une illustration de la loi de l'attraction. Nos pensées attirent nos pensées, et nous pouvons apprendre à choisir le contenu et l'orientation de nos pensées.
Les réponses sont en nous. Nous nous perdons à les chercher ailleurs.
Entre les imprévus, l'agenda surbooké, le temps que nous passons à gagner plus d'argent pour nous offrir ce qui nous fera gagner du temps, la multiplication de nos loisirs; nous n'avons forcément pas le temps de nous arrêter pour réorganiser tout ça, et moins encore pour nous poser les questions de savoir si tout cela a bien du sens.
Les événements ne nous donnent pas toujours directement la vraie couleur de la réalité.
- Autobiographie en cinq chapitres
Guy Corneau exprime cela en une phrase :
“La vie est parfaite puisqu’elle nous ressert toujours le
même plat jusqu’à ce que nous prenions conscience de
ce que nous sommes en train de manger”.
Notre pouvoir personnel est bien plus grand que nous ne l'imaginons et bien souvent, nous ignorons tout simplement son existence.
- Oiseaux noirs, oiseaux
blancs
Une autre illustration de la loi de l'attraction. Nous récoltons toujours ce que nous semons.
- Pêcheurs mexicain, pêcheur
américain
Comment courir à perdre sa vie pour la gagner, alors que nous l'avons déjà.
Une métaphore pour illustrer le titre du site
Le monde est prêt à basculer dans le chaos, et nous ne le voyons pas, hypnotisés que nous sommes par la télévision, la publicité, la consommation, le brillant et les paillettes. Le réveil pourrait être dur.
- Framasoft
- Le grand ménage
- La Bioéconomie
- Empreinte écologique
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Nouveau : Novembre 2023
LE LIVRE : Quand cesse la culture du PROFIT
RESPONSABILITE CITOYENNE
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